Projet & prospective

L’imprévisible

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L’architecture gagne à chacun de ces « sauts qualitatifs », désirés mais inopinés. L’architecture du territoire gagne et enrichit sa théorie de nouveaux concepts manifestes. Dans l’optique de l’aménagement du territoire par le commerce il peut s’agir d’imaginer, sans filet, différents types d’impact. Tout d’abord un impact « surfacique » engendré par le développement exponentiel de l’agriculture urbaine, généralisée dans les moindres recoins et dont les produits sont distribués par les voies d’eau principales sur de multiples bateaux. Ensuite pourquoi ne pas désigner les grands ensembles comme des centres vitaux, se révélant contre toute attente des gigantesques lieux de ressources au service de l’ensemble de l’agglomération ? Ce serait la récession de la voiture individuelle, mais de manière totale, avec toutes les stratégies multiples à déduire. Ce serait 3 degrés de plus en moyenne annuelle sur notre climat, qui induirait un « Séville à Paris » avec un habitat à introvertir, protecteur de la chaleur, des écosystèmes transformés.



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