Afin de pouvoir améliorer mon travail du semestre dernier concernant l’écoroute et trouvant toujours judicieuse l’idée de relier Jouy le Moutier et Maurecout, j’ai choisi de conserver le projet « Une ville en route... ». [...lire la suite...]
Eclairer c’est prendre en compte les besoins visuels, les perceptions, les regards, les ressentis de l’homme face à ces usages fonctionnels et sociaux au sein de l’espace urbain nocturne.
C’est travailler les volumes, les mouvements, les couleurs, les contrastes, l’intensité d’un paysage pour traduire au mieux ses expressions et son sens.
C’est la possibilité de donner une autre lecture du site, avec des directions, des compositions et des hiérarchies différentes de la vision diurne tout en insufflant de la poésie au projet.
C’est en conjuguant ces principes que la lumière, élément volatil, peut exprimer les richesses de l’espace.
Elle est impalpable, elle existe par les matériaux de l’architecture.
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Mon approche du site basé sur un projet qui propose la création d’un corridor vert au long de le autoroute.
Référence :
-Le film Dogville de Lars Von Trier (2003)
-Le site gaulois de La Molère (Saint-Jean-Poutge)
-La nouvelle vague (pour le travail du son)
Notre travail :
L’élément structurel majeur de notre projet est un portique en bois. Tout le projet s’organise autour de cet élément, qui nous permet de créer un « télescope » orientant la vue et cadrant le paysage.
Dans l’approche du site à l’échelle 1, notre installation consisterait à symboliser les dimensions du portique et à réaliser le plan au sol, pour que le visiteur se figure le volume représenté.
Nous avons choisi de nous implanter dans le projet qui propose un parc et un bassin de phyto-épuration. 
